*Des retrouvailles.. .Joyeuses?*

Après qu'Araina l'ai laissé devant la porte de sa nouvelle chambre, Leo entra et commença à s'installer avec le peu d'afffaire qu(il avait. La chambree était déjà occupé, comme le prouvait le '' bordel'' qui y regnait. Alors Léo commença à ranger. Il trouva toutes sortes de choses étranges qu'il "rangea" sur la commode à côté du lit. C'est ainsi qu'il vit, d'abord le lit complétement défait, puis les dagues qui pendaient sur le coté, reliées par une chaine. Il se dit que son collocataire allait beaucoup lui plaire mais ce mefia quand même de ce dernier et sortie son couteau de survie, ne pouvant pas se balader avec son épée favorite qu'il avait laissé derrière lui en prenant la fuite. Soudain Il entendit le grincement de la porte, et il commença à crier:

"JE SUIS TON NOUVEAU COMPAGNONS DE CHA...mbre?"

Il s'arrêta net avant de reprendre étonné:

"Kenholl?"


Il s'élança vers lui, vioulant le plaquer par terre en le serrant dans ses bras

Kenholl venait de terminer les punitions qque lui avait fourni son cher professeur de littérature quand il monta l'escalier pour regagner sa chambre, le seul endroit où il pouvait encore avoir le calme et la paix. Il repensait à Kizuky et son visage lui laissa dans la bouche le goût d'une tâche non terminée. Il arriva rapidemnt devant sa porte et l'ouvrit en grand. C'est alors qu'il vit 3 choses horribles. La première, était qu'on avait déplacé ses affaires, la deuxième, qu'il aurait un colocataire et la troisième, peut-être la pire, la personne qu'était son colocataire. Il ne fallut que peu de temps à ce dernier pour réagir à son tour.

" Kenholl?"

Il n'attendit pas que le jeune garçon sois sur lui pour reculer et refermer la porte. Le bruit sourd qui résonna dans les escaliers le rassura. C'est alors qu'il entra de nouveau dans sa chambre, qu'il mit un pied sur Léo et qu'il lui dicta:

" Premièrement, ne touche JAMAIS à mes affaires, DEUxièmement ne pas me faire chier le soir et le matindonc adieu tes blaagues pourries. Troisièmement ne jamais me contredire, j'aurai toujours raison. Quatrièmement,termina-t-il. En cas de désaccord se fiez au troisièmement, et si c'est insuffisant j'aurai toujours mes dagues.Compris?"

Et il pressa un peu plus son pied.

Quand il se prit la porte en pleine face, Leo étouffa un cri de douleur pour que Kenholl ne l'entende pas. Lorsque ce dernier ouvrit la porte, Leo s'efforça de sourire même uand il lui dicta son règlement. Il se doutait bien qu'il passait pour un imbécile heureux et que la douleur transformé tout de même son visage ( c'était que les portes en bois massifs, ça cognait!!) Il se releva et sentit son nez virer au bleu, il frappa donc son coussin du poing pour se calmer, comme il avait l'habitude de faire. Il marcha vers les obets qu'il avait"rangés" et les disposa au sol, traçant ainsi une limite. Il semit d'un côté de cette dernière et dit:

" A moi rangééé" Puis il passa de l'autre coté avant de reprendre: " A toi, pas rangéééé"

- Pour le prouver, reprit-il après un temps d'arrêt. Regarde"

Il écriva sur un morceau de papier, activant ainsi un petite flamme sur son doigt avant de tracer une limite sur le sol

"Voilà!!" termina-t-il.

Kenholl regarda Léo de haut durant tout son speech. Il sentit la rage racler le fond de sa gorge. Il détestait vraiment que l'on touche à ses affaires, surtout pour en faire cet usage. Il regarda la marque que le feu avait laissé sur le sol d'un air dédaigneux avant de sortir sa plume et un morceaux de parchemin plié de sa poche. Il écrivit durant 5 longues minutes dans le silence le plus complet. Quand il eut terminé, la limite s'estompa en grande partie, mais hélas pas totalement.
Le jeune homme s'approcha donc de Léo en le fixant de son regard noirs en réfléchissant au moyen le plus sûr de lui faire regretter son acte. Quand il arriva à hauteur de ce dernier, il passa son coude autour de la nuque en balayant une de ses jambes obtenant ainsi l'effet désiré. Léo était à son merci, ou plutôt sa tête, puisque seule celle-ci dépassé à l'avant, coincée entre le creux de son coude et son flanc, tandis que le reste de son corps, plié en deux se retrouvé à l'arrière.

" Mon CHER Léo, commença Kenholl d'un air cynique mêlé à de l'ironie.
Tu peux pas savoir comme ta venue me réjoui!, continua-t-il en lui triturant les cheveux.
Tu peux même pas imaginer.....

Il tenta de le faire tomber en le relâchant avant de s'assoir sur la commode la plus proche pour écouter les sons incessant qui sortiront du gouffre sans fond qu'était la bouche du garçon .

Sachant que Kenholl s'attendait à l'entendre parler, Léo prit son bout de papier et écrivit:

" Cher Kenholl, Ton accueil chaleureux me fait chaud au cœur. Sache que j'ai moi aussi quelques règles. 1 je respecte, ou pas, les règles des autres. 2 je range ce que je veux quand je veux sans que personne ne m'en empêche. 3- si jamais tu touche à mes affaires, remet les exactement à leurs places. 4 Et jamais je ne me lasserais de te faire chier, point finale. "

Étant énervé, ses cheveux se changèrent en flammes, c'est ainsi qu'il se mit à courir partout pour trouver de quoi les éteindre. C'est là qu'il se mit à rire comme un fou après avoir remis la feuille à Kenholl.

Contre toute attente, Léo prit son papier et continua à écrire. Cette fois-ce ce n'était pas pour faire appel à la magie mais par contradiction à ses attentes. Il prit le morceau de papier tendu par la tête brulé qu'était le garçon ,et c'était bien le cas de le dire à cet instant. Léo fut pris d'un fou rire, Kenholl ouvrit le papier, lu un sourire au lèvre et éclata à son tour après avoir lu la 3ème phrase.

" Des règles!, s’esclaffa-t-il. Toi! Et maniaque en plus, continua-t-il après quelques secondes. Toi!!

Le rire finit par le plier en deux. Cela faisait bien des lune qu'il ne se sentait pas aussi libre et joyeux. Quand il se calma enfin, ce qui prit un bon moment, il demanda à Léo ce qui l'avait guidé jusqu'à Rozaray et comment s'était manifesté son pouvoir. Il se sentait comme au bon vieux temps lorsque tout deux trainait avec la bande

Léo vit que Kenholl avait repris de son sérieux en posant la question, alors il lui répondit que cela faisait longtemps que son pouvoir s'était manifesté et qu'il l'avait caché à tout le monde. Il lui raconta l'histoire sans trop de détail car cela l'ennuyait de tout reprendre à chaque fois. Il raconta aussi la rencontre avec Araina et poussa un soupir rêveur en prononçant son nom. Il se sentit rougir lorsqu'il comprit que Kenholl l'écoutait toujours et qu'il était facilement devinable de savoir ce qu'il ressentait. Il s'était surtout attardé sur la fin de l'histoire en racontant avec dégout la trahison de la bande car tout les écrit qu'il mettait au sol était contre Liam. Il poussa un soupir car tout ceci n'avait plus rien d'amusant.
En voyant qu'il était attristé, et que cela ne correspondait pas à son caractère, il sortit une de ses blagues pourries qui étaient son premier don:

" Une fille et son chien vont dans l'eau. Le chien pète et la fille se noie, quelle est la race du chien? Le Pékinois!!"

Il éclata de rire tout en sachant que lui seul rirait et qu'il enfreindrait la règle numéro 2.

Kenholl écouta l'histoire de son camarade. Ainsi il connaissait l'existence de son pouvoir depuis longtemps, il voulut lui demandez plus de précision mais n'en fit rien, par respect pour son récit. Lorsqu'il évoqua le nom d'araina avec son air rêveur, Kenholl reconnu un autre aspect de Léo: le garçon était un véritable cœur d'artichaut. Lorsqu'il termina par sa haine vis'à-vis de la bande et de leur trahison, Kenholl ne dit mot. Ils avaient eu raison d'agir ainsi. Leur famille n'ont ainsi pas été attaquer par le tyran et ils ont sauvé leur peau. Quant à Léo, il avait fui et s'était retrouvé à Rozaray. Oui, c'était vraiment la meilleure solution solution. De plus, la bande ne craignait pas léo comme un régisseur, derrière son aptitude à se battre, il ressemblait plus au bouffon du roi qu'au roi lui-même. D'ailleurs en pensant à cela....

" Une fille et son chien vont dans l'eau

- Oh nooon.... maugréa le jeune homme.

-Le Pékinois!!"

Il n'en faillit pas plus à Kenholl pour se jeter sur son coussin et balancer ce dernier à la figure de son nouveau colocataire.

" T'va bouffer pour ça mon vieux!!!!, cria le jeune homme en s'élançant, son oreiller à la main. Il reprenait les vieilles habitudes, aussi bien linguistique que caractériel, de la bande, et cela ne lui faisait aucun mal, au contraire, il ne s'était jamais sentis aussi bien depuis quelques lunes avant son départ.