Histoire de personnage 1: Korydwen la Louve

Écris le: 20/06/ 2010

Quand Korydwen est naît dans la Rome antique, bien avant que le dieu actuel ait un culte. Elle ne sait pas vraiment qui sont ses parents mais, dit-on, le roi des enfers serait sont créateurs avec une jeune louve maudite pour être tombé amoureuse d'un humain. Donc en effet mes chers petits amis Korydwen est une de la ligne pur. Petite sœur du grand loup noir et fille de la louve d'or, elle est la femelle dominant, la seul à qui tout un territoire obéit. Vivant dans l'ombre de son frère elle quitta la Sicile pour remonter dans le nord de l'Italie à Rome où elle sera accueillit à bras ouverts, elle avait alors 165 ans. Les vampires commençant à descendre des terres du nord, elle décida de mettre fin à sa vie de repos et se lança à la chasse de ceux qui ôsez s'aventurer près de ses terres à savoir une infime partie de la gaule. Elle tua bon nombre de vampires. Elle avait alors 514 ans. Elle continua ainsi pendant quelques siècles encore mais une question vint aborder son esprit. Pourquoi tant de lutte acharnée? Elle ne sut répondre. D'années en années, ses victime vampires baissèrent, celle humaine augmentait. Tout étais de leur faute, ils nous chassent et nous obligent à partager le territoire du secret, voilà pourquoi tant de lutte.Quelque siècles passèrent et une révolte vient décimait l'esprit de la louve. Tant de haine. Tant de rancœur. Tant de laideur. Tant de ruse. Tant de savoir pour tant de stupidité. Pourquoi était-elle devenue comme cela? Pourquoi ressemblait-elle à eux. Qu'avait-elle fait? Combien d'être avait-elle tué? Que dirait son frère si il la voyait s'être humilié et être devenue si misérable? Rien. Il ne penserait rien. Juste qu'elle n'était pas l'une des Grand’ Loup. D'ailleurs, qu'avait-elle gagnait? Depuis combien de temps n'avait-elle pas donné de nouvelles? Un monstre? Suis-je vraiment craint en tant que monstre?
Sur ces pensés elle se renferma sur elle-même. Elle disparut de tout regard et se blottit au fond d'une grotte. Le mutisme de ses actes poussa son frère à agir, ne pas avoir de nouvelle d'un de la grande ligné est suspect. Il vint donc la trouver dans sa grotte. Ses long cheveux fin et plus sombre que les ténèbres danser au fil du vent. Son regard d'or qui paraissait pourtant noir jaillissait comme un halo de lumière dans la nuit. Elle ne le regarda pas. Ses yeux étaient éteints. Son esprit se mourrait mais elle réussit à prononcer deux mots "mon frère". Il la sermonna pendant un long moment

" Tu es tombais bien bas. Ne crois tu pas qu'en t'en que sang pur, ton devoir est de continuer la lignée et chassait les étrangers de nos terres? Et mère? As-tu pensés une seule fois à elle? OU bien tu es trop égoïste pour pouvoir penser à elle?"
-mère...où est mère? répondit-elle dans un soupir
-Mère mais il est trop tard pour poser la question. Ne remarques-tu rien? L'air n'aurait-il pas changé depuis quelques temps?

Korydwen huma l'air par reflexe. Mère, l'odeur de mère a disparu de la nuit Elle regarda son frère. Ses yeux étaient d'un or sans égal. Non. Pourquoi a-t-il fallut que tu le fasses
" Tu te demande pourquoi hein? Elle allait mourir sa malédiction allait l'emporter. Je l’aie donc achevé pour qu'elle cesse de souffrir et qu’une sous-espèce ne le fasse de ses mains sales. Mais tu t'en fiche royalement puisque tu nous as tous trahis. Tu as abandonné tes terres pour les laisser à ses humains et vampires. Sait-u que les loups sont désormais vu comme des monstres et non comme des divinités? Les vampires se cachent dans l'ombre de la nouvelle religion mais tu ne fais rien. Tu te meurs et tu ne nous aide pas. Tu as même tué l'un des nôtres sans le vouloir. Tu sais donc que pour prix de ta trahison tu dois tout me donnais. Ta vie, tes terres et ton pouvoir".

Les yeux de Korydwen se rallumèrent. Son frère voulait reprendre l'empire des mains de l'homme. Elle le sentait. Puis elle repensa à ses victimes. A ses semblables. Ses erreurs. Et enfin à sa souffrance que le tout lui avait procuraient. Elle ne voulait pas! Elle ne pouvait pas laisser son frère vivre ce qu'elle avait vécu. Sous un hurlement de peur et de souffrance elle se transforma. Son pelage sombre se mouvait dans un silence tel le sang qui coulait de sa blessure. Son frère l'avait mordu dans le flan. A contre cœur elle le combattit et ce toute la nuit. Tout deux finir par abandonner. Ils étaient à bout. Son frère était désormais borgne et avait une patte antérieure cassée. Quand a elle, son antérieur droit était amoché ainsi que son flan et sa croupe. N'en pouvant plus, elle reprit forme humaine et s'évanouit. A son réveille elle était près d'un feu dans la grotte. Un rêve? Qui avait allumé le feu? Est-ce la réalité? Mon frère? Elle se releva péniblement mais, sous l'effet de ses blessures qui avaient alors cicatrisait, elle tomba en arrière. Une main la rattrapa. L'odeur d'un étranger humain emplit ses narines. Elle se dégagea et lança un regard noir sur l'intéressé.

" hola hola!! lui fit-il. Ne vous méprenez pas chère damoiselle, je vous ait trouvée il ya une décade bien amoché par les crocs d'un loup. Et comme gent’ homme je vous aie soigné. Vous avez eu de la chance ces bêtes là ne sont pas faites pour épargnez les voyageurs. D'ailleurs je vous aie préparait de quoi manger"

l'homme lui tendit un morceau de volaille cuit. Korydwen renifla discrètement et à distance la nourriture. Elle avait l'air comestible. Elle dévisagea l’inconnu, qui lui souriait, s’approcha de lui, lui prit la ration de ses mains et alla s'asseoir contre la paroi de la grotte pour le manger les sens en aguets.

" Et bien quel appétit. Je suppose que ma présence vous est hostile. il sourit de nouveau avant de reprendre. Je me nomme Laurent. Je tiens une auberge assez réputait dans le village le plus proche que je connaisse. Hum, c'es à dire à 1 décade et demi d'ici"

Korydwen s'arrêta de mangeait pour considérait "Laurent", puisque c'est ainsi qu'il se nommait, d'un air blazé. Mais sur quel genre de personne était-elle tombée? Elle continua à l'ignorer pendant de longs moments. Elle appris qu'il avait une femme "merveilleuse" et une petite fille "plus-que-merveilleuse" qui avait l'âge de huit ans, qu'il avait la meilleure auberge de toute la seigneurie et qu'il avait fait une petite fortune avec sa réussite. Puis il commença à conter les anecdotes de la vie, choses encore plus inintéressantes que le reste. Korydwen repensa au combat avec son frère. Puis lui vint une vérité; ses blessures n'avait pas put cicatrisaient si rapidement. Elle regarda autour d'elle et huma l'air. Plus une trace de sang, tout avait disparu. Ne pouvant se douter que son sommeil fut plus long que une décade seulement elle demanda à l'aubergiste quel jour s'était lever ce matin.

"Et bien nous sommes le...... Qu'en sais-je pardi!!!! Cela fait bien longtemps que j'ai arrêter de compter!! Mais laissez-moi vous conter la légende de ma seigneurie."

Et il commença à conter:

"Les Doyens de la ville raconte, que la Cité était autrefois fleurissante et belle. Une jolie capitale, où brebis et récolte abondait, si bien que les granges débordaient et qu'il fallait amené des dizaines de charrettes afin d'emmener tout jusqu'au marché. Bien sûr, ceci n'est qu'une Rumeur. Les Nobles étaient riches, plus riches que le Roi, que l'Eglise et que toute les autres villes. On parlé des Bijoux d'ici, des Agneaux bien gras et des Blés dorant au Soleil du Comté. Mais on dit aussi, qu'un jour, le ciel de Midi se voila. Que tout ne fut plus rien en un instant et que la Lune vint prendre la place du Soleil, dans un noir totale, complet. On entendit les tremblements du sol, la fougue des Mers et la Colère des Volcans. Le Mal et les Ténèbres avaient envahis la ville. Les Vampires et les Loups Garous étaient de sortirent. Le seul refuge possible était la Chapelle, ou l'église... Bientôt elle fut remplie et le Clergé ne savait que faire d'autre que de puiser dans ses richesses. Pour cela, il fallut vendre des sculptures et des reliques inestimables, afin qu'on puisse nourrir tout les malheureux. Mais les Créatures des profondeurs de l'Enfer guettés les Gens et les tuaient un à un. L'eau était rare, il fallait sortir, sortir de ces lieux saints, et personne ne s'y risquer car il était rare qu'il en revenait...

Pendant près de deux semaines, ce fut une vie pitoyable et miséreuse. La plupart se jeter du haut du clocher, n'ayant plus d'espoir que Dieu les aident et ne voulant pas finir en gibier de Monstres. Les Vampires et Loups Garous s'aimaient beaucoup en se temps. Ils étaient frères et alliés. Pourtant, une couturière bien courageuse et fourbe eu la force de rusé contre eux. Elle pris, dit-on, deux morceaux de pains, l'un dont la mie étaient imbibés de sang, l'autre où elle avait glissé un morceau de volaille. Elle donna au Loup Garou le morceau de pain imbibé de sang, lui promettant qu'un délicieux morceau d'agneau tendre y était glissé. Puis, elle donna le pain à la viande à un Vampire. La couturière les prévint qu'ils ne devaient pas le manger tout de suite car les soldats les avaient empoisonnés, et qu'à minuit le poison se dissipera. Plus personne ne sortaient, et les bêtes affamés n'avaient plus d'humains à portés de mains. Quand vint Minuit, le Loup Garou et le Vampire se joignirent pour manger leur part. Mais ils se rendirent bien compte qu'ils n'avaient pas la bonne nourriture. Ils s'accusèrent donc de s'être voler mutuellement le repas de l'autre, et c'est ainsi qu'ils se battirent, pendant trois jours et deux nuits, jusqu'à ce que tous deux, épuisés, tombèrent sur le champ de bataille. Les autres congénères de leur espèce crurent que il en était finit de l'alliance entre les deux espèces.

Ainsi, ils furent divisés. Mais les villageois ne pouvaient toujours pas sortirent. Il fallait nourrir les bêtes dehors qui ne rêvait qu'une chose : Par désespoir ou simple égoïsme, ils décideraient de sortir et se laisseraient manger lentement, avec toutes les souffrances possibles. On sacrifia les sorcières, une bonne dizaine, dont on se fichait de savoir si elles étaient de simple innocente ou de vrai disciple du Malin, peut importe, il fallait sauver la ville. Les bêtes se jetèrent sur elles comme des loups guettant l'approchent d'un ours ! Ils déchiquetèrent, grelottant, sanglotant et pleurant, le peuple du voir cette scène, dit-on, la plus horrible que les Enfers puissent donner en spectacle ! Le lendemain, un message d'un moine mordu par un Loup Garou, entra suant et priant son Dieu tout puissant. Il hurla : " Donnez-leur 1OO femmes en sacrifice et ils se disparaîtront dans les Ténèbres et les entrailles de la Terre ! ". Cent femmes. On ne pouvait se permettre se don, à moins de ne plus vouloir d'enfants. Mais Cent femmes se sacrifièrent quand même. Le ciel noir devint lumineux, et la ville regagna son éclat, sa beauté d'antan...

Souvenez-vous du Moine. Celui qui à été mordu. Il a contracté le Virus. Il est devenu un Loup Garou. Des cadavres d'humains vidaient de leur sang, se relevèrent, eux aussi, ayant ce Virus. Mais le peuple ne sait pas, le peuple n'a rien vu, et peut-être qu'eux aussi disparaîtrons ?
En attendant, la ville vie sa vie, les bourgeois prélèvent les taxes, l'Église construit une petite chapelle et les Paysans font leurs corvées et cultures leurs Tenures, rien de bien compliqués et d'anormales... pour l'instant. »

Il y eut un long silence. Cette légende, Korydwen la connaissait que trop bien, c'était elle qui avait ordonné à ses hommes de faire cela. Elle se rembrunit à la pensée des victimes, mais pire encore. Apparemment, tout les êtres, dit maléfiques avait disparu. Était-elle seule désormais? Ce drame s'est passé il y a 2 décennies au moins. Où irait-elle désormais elle ne savait pas.
L'aubergiste voyant la mine rembrunie de sa blessée changea de sujet.

"Mais dis-moi que faisais-tu dans ce bois?"

Korydwen releva la tête. Et répondis malgré les lacunes qui la tourmentaient.

"Moi et ma famille étions en voyage. Nous remontions l'Italie quand vanité et cupidité a embrumait l'esprit de mon frère aîné. Je commençais à m'opposer à lui et nos liens familiaux s'effritèrent. Quand nous sommes entraient dans ce bois, mon frère à voulu s'attaquer à loup qui était dans un faible état pour sa fourrure. Je m'y opposai formellement. Mais mon frère continua tout de même à son projet. Malheureusement le loup s'opposa à se laissait écorchait sans bougeait. Et il n'était pas seul. Ma mère fut attaqué en première à cause de sa vanité, elle mourut puis vint mon tour et celui de mon frère. Je courut le plus loin possible mais le loup me rattrapa et tout deux fatigué de la course je m'évanouis ."

Un long silence suivit l'histoire. Korydwen n'avait pas totalement mentit. Mais elle ne pouvait pas dire qu'elle était un des Grands-Loup. Contre toute attente le voyageur lui fit une faveur toujours avec son sourire bienveillant.

" Puisque tu n'as nul part où aller. Viens avec moi. Ma femme t’accueillera à bras ouverts et tu seras comme une grande sœur pour ma fille. Dis-moi quel est ton nom?
- Ko..Korydwen.
- Bien korydwen, nous devrions partir le soleil se lève maintenant, lui répondit l'homme en lui tendant la main."

Korydwen considéra la main pendant quelques instants. Puis la serra. Elle allait tout recommençait, peut-être même se faire pardonnait des âmes qui l'entouraient.
Ils repartirent tout les deux en direction de l'auberge. Arrivés là-bas, elle fit connaissance du métier. Des atouts et des contraintes du métier. Elle devint souriante et de la gaité sans égal émergea de son corps. Mais bien sûr, ses petits crimes envers ceux qui le mériterait, bien qu'ils soient extrêmement rares, ne cessait jamais.
Mais un autre problème s'oppose à Korydwen: la présence d'un vampire est arrivée jusqu'à elle. Elle le sentait, l'entendait mais ne le voyait pas.